« L’écologie, c’est la chance qui surgit de la contrainte. » – Discours du 18 décembre 2014

« L’écologie, c’est la chance qui surgit de la contrainte. » – Discours du 18 décembre 2014

// Discours de clôture de la Convention Climat de l’UDI // Chers amis, Merci à l’initiateur et organisateur de cette Convention Climat, merci à Bertrand, parlementaire inspiré, lanceur d’alerte républicain de haute volée, homme et citoyen de conviction et d’exigence. Merci à Bertrand, défenseur animé et inlassable du monde de demain. Merci, Bertrand, d’avoir su constituer, une fois encore, un cénacle précieux de personnalités éminentes qui sont les viviers et les fertilisants naturels des choix politiques sur ce sujet fondamental du changement climatique. Merci à nos brillants intervenants : Pascale Braconnot, Anne Bringault, Christian de Perthuis, Benoit Leguet, Serge Lepeltier, Damien Mathon, Philippe Pelletier, et Cédric Ringenbach, ainsi qu’à nos talentueux modérateurs : Sophie Auconie et Stephen Boucher Le changement climatique, après vous avoir entendu, ce n’est pas seulement un changement d’atmosphère. C’est un changement d’ambiance du monde, parce qu’on ne peut plus désormais consommer, respirer, se comporter, s’imaginer comme autrefois, dans toutes les contrées, les strates et les activités humaines. Alors, merci de nous avoir fait partager, Mesdames et Messieurs, vos lumières sur la complexité de ce monde qui s’élabore, auquel nous devons nous acclimater, de ce monde qui change tout, et dans lequel la France peut sans doute porter de nouvelles valeurs d’universalité. L’écologie, c’est le grand paradoxe et le grand projet du XXIè siècle : c’est la chance qui surgit de la contrainte. Ce peut-être aussi un chemin pavé de bonnes intentions et, pire parfois, de déclarations d’intentions. Mais c’est aussi l’économique revisité là où, il y a quelques années encore, on était dans l’onirique. C’est un projet généreux né de la rareté des ressources, c’est...