17 juin 2016 | Actu |
• Article du Télégramme • L’heure est aux grandes manoeuvres dans les états majors politiques. En ligne de mire : les législatives de 2017. Après la visite d’Alain Juppé et avant celle de Nicolas Sarkozy pour les Républicains, Jean-Christophe Lagarde, le patron de l’UDI, était à Rennes, hier. À ses côtés, des cadres du parti en Bretagne, parmi lesquels le député de Fougères (35) Thierry Benoît et le maire de Chantepie (35) Grégoire Leblond. Deux élus qui seront sans aucun doute investis par leur parti, la commission d’investiture devant se prononcer avant le 28 juin. « Car nous aurons des candidats en France dans toutes les circonscriptions où des députés de gauche ou du FN sont sortants, annonce Jean-Christophe Lagarde. Il nous faut pour la Bretagne la meilleure représentation humaniste qui soit ». NDDL : « La chienlit organisée au sommet de l’État » Son passage dans la capitale bretonne a donné l’occasion au dirigeant centriste d’aller à la rencontre de commerçants rennais, victimes des casseurs lors des manifestations anti-loi Travail. Et de dérouler son discours autour de ce qu’il nomme « l’effondrement de l’État » sous la présidence de François Hollande. « Un désastre pour les Français. Si la police n’est pas capable d’arrêter les casseurs, c’est parce qu’on ne leur a pas donné les consignes pour les arrêter. Il y a un laisser-faire de l’État, qui n’a plus d’autorité ». Pour ce qui est de la gestion du dossier Notre-Dame-des-Landes « c’est la même chose que pour les manifestations anti loi El-Khomri. C’est la chienlit organisée au sommet de l’État », selon Jean-Christophe Lagarde. Quant au référendum local...
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